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Dans les grandes steppes du nord...
Ce weekend notre village avait pris un petit air de Sibérie*...
Bienvenue dans les grandes steppes du nord...
Avec ce grand ciel bleu et ce tapis blanc, la carte postale était vraiment belle...
Le bruit de mes pas sur la neige, le murmure de l'eau, la caresse du soleil : du pur bonheur dont il fallait profiter...
Hier après-midi, déjà, le beau manteau immaculé s'était estompé et, malgré le gel de ce matin, le paysage a repris sa dominante brune.
* Quelle plaie ces fils électriques...bon sang que c'est moche
Tags : hiver, février, neige, paysages, nature, Picardie, Oise, Auger St Vincent
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Commentaires
C'était beau tout de même cette parenthèse. Bisous-
Lundi 12 Février 2018 à 18:05
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3EmmanuelleLundi 12 Février 2018 à 21:57Bonjour Charlotte .Je n'ai eu qu'une journée de neige et bien moins que chez vous et j'étais ravie de voir le jardin sous la neige .
Chez vous c'est une autre dimension malgré les aléas pour ceux qui travaillent c'est quand même merveilleux le paysage sous la neige ,cela incite à la rêverie et c'est zen .J'ai vue l'autre article ou le dégel commence les photos sont superbes.
Soleil chez moi aujourd'hui avec un 8 degrés au meilleur de la journée sans vent c'était agréable .
Belle soirée et semaine Charlotte .Bisous
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Bonjour Charlotte, merci pour ta Sibérie Nordique! Tu pestes contre les fils électriques, je faisais de même pendant longtemps. Puis, ayant "circulé " 10 ans dans les petits villages aux alentours, le bonheur était au rendez-vous à l'arrivée des hirondelles et autres petits migrateurs qui se signalaient par leur présence sur les fils, et l'envahissement des quelques remises encore ouvertes au vent. En 10 ans, j'ai vu l'enfouissement des réseaux elec et autres pour de bonnes raisons, je ne conteste pas du tout, puis les vieilles remises se fermer au départ pour d'autres cieux des Jeanne, Louis, Alphonse...et si tu savais comme certains de nos aînés attendaient les nichées familiales des hirondelles dans les vieilles remises...! Leurs fils d'arrivée et de réunions-départ se font rares, et les hirondelles aussi, où se poser, où fonder sa famille? Besançon a offert des "hôtels" tous neufs aux plumes de passage lors des restructurations de vieux bâtiments, je crois qu'à ce jour encore, aucun nid artificiel n'est habité. D'où ma réflexion: un pas en avant...un pas en arrière? Belle journée.
Carole.
Je suis d'accord avec ce que tu dis (surtout pour ce qui est des vieilles bâtisses ouvertes qui sont encore légion ici) mais pour les histoire de fils, par endroit il y en a vraiment beaucoup trop qui zèbrent le paysage. Un ou deux passe encore et, je vais faire ma fine bouche, accrochés sur d'élégants poteaux en bois...mais quand tu en as 5 voire plus qui se battent sur d'affreux poteaux métalliques ou en béton, c'est moche de chez moche ;)