• Les oyas...

    Vous le savez, mon blog est partenaire de Botanic, une enseigne que j'aime beaucoup pour son engagement écologique (ils ne font pas semblant eux...). Grâce à ce partenariat, je suis de temps en temps sollicitée pour des tests produits.Ce printemps j'ai sauté au plafond quand j'ai vu ce qu'il me proposait d'essayer : un oya !!

    J'en rêvais depuis que j'avais découvert l'existence de ce système dans le livre de Fabrice Chollet, "des récoltes abondantes dans un petit jardin", aux éditions Ulmer.

    Jusque là, pour moi un oyat s'écrivait avec un t et poussait dans les dunes...

    Les oyas...

    Mais l'oya sans t c'est ça...

    Les oyas...

    Une jarre d'irrigation à enterrer...

    Les oyas...

    Le principe est d'une géniale simplicité...

    Les oyas...

    Il suffit d'enterrer l'oya jusqu'au goulot à l'endroit voulu. J'ai choisi le centre d'un des quartiers de mon potager...

    Les oyas...

    De le remplir d'eau...

    Les oyas...

    De refermer le couvercle...

    Les oyas...

    Puis de laisser faire !

    L'eau va se diffuser toute seule par capillarité dans la terre en fonction des besoins des plantes alentours. La capacité de celui que j'ai reçu en test, 5 litres, permet d'irriguer sur un rayon de 66 centimètres avec une consommation maximale d'1 litre par jour.

    Effectivement, après une semaine pluvieuse, le niveau n'a pas baissé d'un millimètre à l'intérieur de l'oya. C'est parfait...La réserve reste disponible en cas de besoin.

    Et puis c'est tellement plus esthétique que les bouteilles fichées en terre, tellement plus facile à installer que les tuyaux micro-poreux...et, cocorico, fabriqué en France...

    Je suis tellement convaincue par ce système que je vais en commander un second pour une autre partie du potager

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