• Pour vivre heureux, vivons cachés...

    J'avais toujours plus ou moins laissé le fond du jardin vivre sa vie.

    Depuis qu'une contrainte de vis à vis est apparue, je cogite encore et encore. L'hiver est la saison idéale pour ça...

    Pour vivre heureux, vivons cachés...

    Pour tenter de compenser la vue plongeante que mes voisins auront sur mon jardin depuis leur nouvelle terrasse surélevée, j'avais commencé par reprendre les contours d'un massif et planter un sambucus nigra.

    Mais c'est bien insuffisant.

    Dés que possible, je reprends mon tranche bordure pour refaire un tracé et gagner encore en profondeur. Un peu comme ça...

    Pour vivre heureux, vivons cachés...

    En m'éloignant du mur d'environ 2 mètres 50, je vais pouvoir atteindre la distance réglementaire qui me permet de planter des végétaux aussi hauts que j'en aurais envie.

    Hauts, oui, mais pas trop larges !

    Pour rester cohérente avec l'esprit "champêtre" de mon jardin, j'ai repéré deux bons candidats : le sorbus aucuparia 'Autumn Spire' et l'amélanchier alnifolia' Obelisk...

    Pour vivre heureux, vivons cachés...Pour vivre heureux, vivons cachés...

     (crédit photo Newplants et Jardin du Pic-vert)

    Et puis, dans ce bosquet, il y aura des vivaces, une clématite et sans doute un rosier.

    J'ai envie d'un petit liane très souple, peu épineux, bien poussant mais pas envahissant, avec une jolie fructification :

    Le site Mela Rosa est pour ça une vraie mine d'or.

    Pour vivre heureux, vivons cachés...Pour vivre heureux, vivons cachés...Pour vivre heureux, vivons cachés...

    Le choix va être cornélien mais je demanderai conseil à Jean-Lin Lebrun dés la première fête des plantes du printemps.

    Voilà comment d'une contrainte nait un nouveau projet.

    Parce que pour vivre heureux, vivons cachés !

    « Les petits trèsors de l'hiver...Plus on est de fous : d'hémérocalles en légumes bio... »

    Tags Tags : , , , , , , ,