Après la roseraie hier, et la découverte de la partie botanique fraichement inaugurée, retournons vois du côté des exposants, voulez vous ?

Je ne vais pas vous en faire un inventaire à la Chat Vert...ils étaient 125...mais juste vous donner un aperçu de ce qui m'a particulièrement plu :

À commencer par les créations de Christiane Calvarro, premier stand visité dés l'ouverture le vendredi...je sais par expérience qu'il faut y aller vite...

Et puis au gré des mes déambulations, ambiance farniente dans un esprit broc' récup sur le stand de Dominique Jouvenet ou plus cosy douillet sur celui de Au fil des Pièces...

Je devais être d'humeur à vouloir me poser car les présentations des paysagistes m'ont parues bien séduisantes :

L'Atelier du paysage qui a reçu le prix du thème la rose et le parfum...

Mais suffit il de poser un flacon de parfum sur une banquette au milieu d'un jardin de démonstration pour être dans le thème ?

À mes yeux, non...

Sévère je suis jeune padawan.

Personnellement j'aurais attribué ce prix à Aromega...le lien était plus subtil mais encore fallait il avoir la réf' : L'heure bleue est un Guerlain emblématique...

 Le reste est un tourbillon...

 Un tourbillon de fleurs...des roses, des vivaces, des annuelles, des aquatiques...

Un tourbillon de fleurs, de saveurs et de senteurs...je parle d'Herbatica en arrière plan.

Son thé "fraise rosée", créé pour l'occasion, est une merveille...

Devant, il y a ces roses là pour lesquelles je n'ai pas un regard, et puis il y a celles ci, les André Eve, les David Austin, les Loubert aussi dont je n'ai pas pris le stand en photo...

Mais il y a surtout les Mela Rosa...

Une antre à coup de cœur.

'La rose du tigre', 'la fée Nancy'...

'Sidi amor', mais tellement, tellement lumineux...

'Lovely Lin' pour lequel mon coup de cœur fut confirmé après l'avoir vu dans la roseraie...

'Royal de Randam'...

Et puis, contre toute attente, 'Arielle', la baptisée du weekend....

 Un tourbillon de roses au milieu duquel j'ai dû garder la tête froide ;

Mon jardin a beau être frappé d'un sortilège d'extension indétectable, celui-ci a tout de même atteint ses limites, je le crains.